Le souffle coupé
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Quelle curiosité que cette centrale synergétique après sa fermeture ! Son abandon devrais-je dire...
Je me souviens de ce jour où, ayant passé les grillages déchirés de cette friche et faufilé à travers des espèces d'herbes hautes et buissons, j'invoquai le sacrilège pour bousculer de la main la moins rétive la porte répugnante du poste qui n'aurait plus jamais d'autre garde que celle pratiquée par quelque probable fantôme pour me retrouver, anéanti, face à cette chose effrayante, immobile et silencieuse, un monstre magistral. |
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24/11/2022